Présidentielle américaine 2024 : Trump promet de « voler les emplois d’autres pays » pour les ramener aux Etats-UnisSportuneBébés et MamansMinutes Maison

Dans la course à la , a promis lors d’un meeting de campagne à Savannah, en Géorgie, de « voler les emplois d’autres pays » s’il est réélu en 2024. Il a réaffirmé son engagement à faire revenir des emplois et des industries aux en instaurant des baisses d’impôts et en imposant des droits de douane très élevés aux entreprises qui produisent à l’étranger.

« Durant des années, nous avons assisté au vol de nos par d’autres pays », a-t-il affirmé en dénonçant la perte d’emplois américains au profit d’autres pays. Il a ajouté que, sous sa présidence, il s’engageait à changer cette dynamique. « Désormais, nous allons nous attaquer à leurs emplois et les ramener en Amérique, là où ils devraient être ».

« Zones économiques spéciales »

Pour atteindre son objectif, le candidat républicain a proposé de créer des « zones économiques spéciales » sur des terres fédérales où les entreprises bénéficieraient de importantes et de faibles réglementations.

« Je vous offrirai les les plus bas, les les plus bas, le fardeau réglementaire le plus bas », a-t-il encore dit. Il a par ailleurs averti que des droits de douane « très élevés » seraient imposés aux fabricants qui ne produisent pas leurs biens aux Etats-Unis. « Je veux que les entreprises automobiles allemandes deviennent américaines », a-t-il assuré.

Ramener les entreprises délocalisées

Donald Trump a également déclaré qu’il avait l’intention de ramener aux Etats-Unis les industries qui avaient délocalisé leur production à l’étranger. « Nous allons voler les emplois d’autres pays, nous allons voler leurs usines », a-t-il martelé devant ses partisans. Il a notamment cité General Electric et IBM, deux grandes entreprises qui avaient délocalisé une partie de leur production. « Je veux que General Electric, IBM et les autres industriels qui nous ont quittés soient rongés de remords et reviennent en courant sur notre sol ».

Enfin, l’ancien président a exprimé des inquiétudes quant à l’avenir des travailleurs américains s’il ne remportait pas l’élection de novembre, qu’il estime être un « horrible cauchemar » pour eux. « Ce cauchemar prendra fin le jour où je prêterai serment », a-t-il promis. Il en a profité pour critiquer Kamala Harris, avec qui il est au coude-à-coude dans les sondages, en affirmant que sous une présidence Harris, les entreprises quitteraient massivement le pays à cause de son programme ambitieux pour lutter contre le réchauffement climatique.

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