Frappes au Liban : La France et les Etats-Unis proposent un cessez-le-feu temporaire de 21 joursSportuneBébés et MamansMinutes Maison

La , en partenariat avec les , a fait une proposition visant à instaurer un temporaire de 21 jours au Liban afin de faciliter des négociations entre et le .

L’annonce de cette initiative a été faite par Jean-Noël Barrot, chef de la diplomatie française, lors d’une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ à New York, convoquée pour aborder l’escalade des tensions au Moyen-Orient, menaçant la stabilité de la région.

« Plateforme de cessez-le-feu »

Le ministre français a expliqué que, depuis quelques jours, la France travaillait en étroite collaboration avec les Etats-Unis pour élaborer une « plateforme de cessez-le-feu temporaire de 21 jours pour permettre les négociations ». Il a précisé que cette plateforme serait rendue publique dans un avenir proche et a exprimé l’espoir que « les deux parties » accepteraient cette proposition.

Jean-Noël Barrot a souligné que malgré la montée des violences, « la guerre n’était pas inéluctable », à condition que les acteurs clés s’engagent résolument dans la voie de la négociation et du dialogue. Il a par ailleurs mis en garde contre le risque imminent d’un effondrement total de la situation au , un pays déjà profondément affaibli par une crise économique et politique sans précédent.

« Point de non-retour »

« La situation au Liban menace aujourd’hui d’atteindre un point de non-retour », a-t-il déclaré, insistant sur le fait que « les tensions entre le Hezbollah et Israël risquent de précipiter la région dans un conflit généralisé. Les conséquences en seraient incalculables ». Selon lui, une nouvelle guerre au Liban pourrait être catastrophique pour un pays qui a du mal à se relever d’années de troubles économiques et politiques. « Le Liban ne se relèverait pas d’une guerre », a-t-il ajouté avec gravité.

Pour finir, Jean-Noël Barrot a appelé à saisir l’opportunité de la présence de nombreux dirigeants internationaux à New York pour forger une issue diplomatique à la crise. « Profitons de la présence de nombreux dirigeants à New York pour imposer une solution diplomatique et inverser le cycle de la violence », a-t-il exhorté.

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