Guerre en Ukraine : Zelensky prend la mouche et la présence de soldats nord-coréens en Russie fait flipper le mondeSportuneBébés et MamansMinutes Maison

Vous avez raté les derniers événements sur la guerre en  ? 20 Minutes fait le point pour vous tous les soirs. Entre les déclarations fortes, les avancées sur le front et le bilan des combats, voici l’essentiel de ce vendredi, 975e jour de la guerre.

Le fait du jour

prend la mouche. Sans doute vexé, le président ukrainien . La raison ? Il n’a pas apprécié qu’Antonio Guterres se soit rendu à Kazan en Russie pour rencontrer en marge du sommet des Brics.

Il s’agit pour lui d’une « humiliation » infligée au droit international. Pourtant, Guterres était venu rappeler au Kremlin que son invasion de l’Ukraine était « une violation » du droit international. Qu’importe, Zelensky a estimé que cette visite ne faisait qu' « endommager la réputation de l’ONU ».

La déclaration du jour

« Le soutien de la Corée du Nord à la Russie serait une escalade manifeste dans la guerre en Ukraine. »

Vendredi, l’Allemagne a fait part de son inquiétude concernant dans la région russe de Koursk, alors que Volodymyr Zelensky affirme qu’ils seront actifs à partir de dimanche.

« C’est grave, et c’est quelque chose qui provoque une escalade supplémentaire dans la situation actuelle », estime le chancelier Olaf Scholz. Pyongyang « ne doit pas contribuer » au conflit et doit « s’abstenir de faire quoi que ce soit en ce sens », abonde une porte-parole du ministère allemand des Affaires étrangères.

De son côté, le Japon a jugé ce « déploiement très préoccupant », y compris « la possibilité qu’il participe à l’agression de la Russie contre l’Ukraine ». Mais la Corée du Nord ignore leurs craintes. « Si ce dont les médias internationaux parlent existe, je pense que ce serait une chose faite en conformité avec les règles du droit international », estime-t-elle.

Le chiffre du jour

21 %. La Banque centrale russe (BCR) a annoncé, vendredi, relever son taux directeur de 19 à 21 %. Ce qui constitue un serrage de vis historique. Il s’agit de son taux le plus élevé depuis 2003. L’objectif : contenir l’inflation.

La hausse des prix, tirée par l’envolée des dépenses publiques visant à soutenir l’offensive en Ukraine, a atteint en septembre 8,63 %, bien au-dessus de la cible officielle de 4 %.

Or les députés russes ont voté la veille l’envolée de 30 % du budget de la Défense en 2025, ce qui pourrait davantage alimenter cette spirale inflationniste.

La tendance du jour

La Russie a-t-elle aidé les à bombarder des navires occidentaux ? C’est ce qu’avance le , affirmant que les rebelles yéménites ont utilisé les données de satellites russes, transmises par des intermédiaires iraniens.

Ces attaques ont perturbé le trafic dans cette zone maritime essentielle pour le commerce, ce qui a conduit les Etats-Unis à mettre en place une coalition maritime internationale et à frapper des cibles rebelles au Yémen, parfois avec l’aide du . Depuis, les Houthis disent cibler aussi les navires américains et britanniques.


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