Election américaine 2024 : Washington se barricade et Michelle Obama s’engage… Le récap de la présidentielleSportuneBébés et MamansMinutes Maison

C’est la dernière ligne droite dans la course à la  ! En lice pour succéder à , et se livrent un duel sans merci et tentent de rallier les derniers électeurs indécis. La démocrate et le républicain sont au coude-à-coude dans les sondages, et l’issue du scrutin de mardi soir est plus indécise que jamais.

Vous avez manqué les dernières infos  ? Pas de panique, 20 Minutes vous résume tout ça dans son « This is America » !

L’info du jour

«  l’a répété : nous respectons la volonté du peuple américain. » C’est en ces termes que l’ambassade de Russie aux Etats-Unis a répondu aux fâcheux qui imaginaient qu’elle était derrière les fausses vidéos liées aux élections américaines. Les fâcheux, ce sont principalement les services de renseignement américains, qui l’ont accusée d’être responsable d’une vidéo bidonnée. On y voit un homme à bord d’un véhicule dire d’une voix monocorde face caméra : « Nous sommes originaires de Haïti. Nous sommes arrivés en Amérique il y a six mois, et nous avons déjà la citoyenneté américaine - nous votons Kamala Harris ». Il affirme ensuite que lui et ses amis ont voté dans plusieurs comtés et montre une série de permis de conduire.

L’ambassade souligne que n’a reçu « aucune preuve soutenant ces allégations en communiquant avec les autorités américaines ».

La punchline du jour

« Quelqu’un qui veut être président des Etats-Unis et qui utilise ce genre de violence verbale est clairement disqualifié pour être président »

Alors que les deux candidats se disputent les électeurs encore indécis, Trump avait allumé une nouvelle polémique en suggérant que l’une de ses plus féroces opposantes, Liz Cheney, soit placée face à des armes à feu braquées sur elle. Harris, qui s’est alliée avec cette ancienne parlementaire républicaine, s’est empressée d’estimer que cette violence verbale « disqualifiait » son adversaire.

Le chiffre du jour

4.000 renforts policiers. C’est ce que prévoit de mobiliser la responsable des forces de l’ordre de Washington pour l’investiture du futur président ou de la future présidente. Barrières de sécurité, planches sur les vitrines des magasins, présence policière visible : en amont de l’élection présidentielle, la ville de se prépare à toute éventualité de violence, gardant en mémoire les événements qui l’ont secouée il y a quatre ans.

Les autorités de la capitale fédérale des Etats-Unis ont averti qu’un « environnement de sécurité mouvant et imprévisible » était à attendre dans les jours et même les semaines qui suivront la fermeture des bureaux de vote, ajoutant qu’elles ne s’attendaient pas à ce qu’un vainqueur soit proclamé le jour même de l’élection.

Au programme des prochaines heures

Le clou des prochaines heures, c’est sans conteste la venue de l’ancienne Première dame, l’ultra populaire , à pour soutenir Kamala Harris. La candidate démocrate pourra également compter sur la chanteuse Alicia Keys pour convaincre les électeurs de de voter pour elle, tandis qu’elle-même continuera sa tournée des états clés. Tournée qui la mènera en Géorgie, Caroline du Nord et au Michigan (nord). De son côté, Donald Trump se rendra lui à des meetings de campagne en et en Caroline du Nord.

Des manifestations de femmes sont par ailleurs organisées samedi dans plusieurs villes américaines, alors que la défense du droit à l’avortement a été au cœur de la campagne.


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