Jeux paralympiques 2024 : « Un adieu mémorable »… La presse étrangère unanime sur l’électronique cérémonie de clôtureSportuneBébés et MamansMinutes Maison
Ce matin, au réveil, on était encore sur notre petit nuage, la tête quand même un peu enfarinée. Il n’était pas question de gueule de bois, mais d’une sacré redescente après . À l’opposé de sa copine des Jeux olympiques, un peu tristoune et pas très emballante, cette .
Et ce n’est pas (que) nous qui le disons, mais le . Le quotidien anglais est dithyrambique au moment d’évoquer cette cérémonie de clôture : « Avec une explosion de feux d’artifice, des rayons laser, du breakdance et un set endiablé des géants de l’électronique française, la France a fait ses adieux aux Jeux paralympiques dimanche soir avec la plus grande fête qu’elle n’ait jamais organisée. »
« Un authentique spectacle »
Le Guardian met notamment en avant la reprise de Je suis venu te dire que je m’en vais, de Serge Gainsbourg, par Amadou et Mariam, « l’une des meilleures prestations musicales », tout comme l’interprétation de la Marseillaise par le trompettiste handicapé André Feydy. « Le spectacle de lumières, de pyrotechnie et de musique électronique – avec Jean-Michel Jarre en tête d’affiche et Martin Solveig en clôture – a égayé le compte à rebours avant la fin, écrit le journal espagnol AS. Ces Jeux ont placé la barre très haut. »
« Les Jeux paralympiques de Paris 2024 se sont conclus dimanche par une cérémonie de clôture étincelante, concluant un fantastique été sportif dans la capitale française », annonce de son côté la BBC. La presse étrangère est unanime au moment de saluer cette cérémonie de clôture imaginée par Thomas Jolly et ses équipes. Et tous les adjectifs y passent : « Somptueuse », selon la RTBF belge, « spectaculaire », rapporte le Bild allemand, « inoubliable » d’après les Américains de NBC, « en beauté », d’après italienne.
Le quotidien transalpin va même plus loin : « Le Stade de France, bondé, a été témoin d’un authentique spectacle de chants, de jeux de lumières et de feux d’artifice. Le stade, bondé, chantait à pleins poumons. Malgré l’air frais de Paris, les athlètes sur le terrain dansent, chantent et s’amusent en compagnie des Phryges, la mascotte des Jeux. » Si même font l’unanimité chez nos chers voisins.