Masters 1000 de Shanghai : Jannik Sinner n’est pas « à l’aise » avec son affaire de dopageSportuneBébés et MamansMinutes Maison
L’affaire n’est finalement pas terminée et elle embarrasse le numéro 1 mondial. A la veille de son entrée en lice au Masters 1000 de Shanghai, a reconnu ce vendredi qu’il n’était pas « à l’aise » avec , et qui a pris une nouvelle tournure la semaine passée.
Alors qu’il avait été blanchi par l’Agence internationale pour l’intégrité du tennis (Itia) après avoir été contrôlé positif à deux reprises au clostébol, un stéroïde anabolisant, l’Italien a vu l’Agence mondiale antidopage (AMA) et réclamer une suspension d’une à deux années.
« Bon espoir que l’issue soit très positive »
« Ce n’est pas une situation dans laquelle je me sens à l’aise, c’est sûr, parce que je pensais que c’était fini… donc ce n’est pas facile », a indiqué Sinner en conférence de presse, alors qu’il doit affronter le Japonais Taro Daniel au premier tour samedi. Le joueur de 23 ans a atteint la finale du tournoi ATP 500 de Pékin, perdue mercredi contre .
Dans cette affaire, l’Italien s’était défendu en expliquant avoir subi « une contamination par un membre de son staff, qui avait appliqué sur sa propre main un spray en vente libre contenant du clostébol pour soigner une petite blessure », selon l’Itia, qui a accepté sa défense et l’a officiellement blanchi fin août.
« J’ai eu trois audiences, qui sont allées dans mon sens, ce qui est une bonne chose, mais maintenant nous allons voir ce qu’il en est. J’ai bon espoir que l’issue soit très positive », a affirmé Sinner vendredi. L’Italien s’est tout de même dit « en pleine possession de ses moyens » avant d’attaquer le tournoi de Shanghai, où il avait été éliminé dès les huitièmes de finale l’an passé.