PSG : « Laissez Donnarumma tranquille et occupez-vous de moi », assure Luis Enrique, qui veut « protéger » ses joueursSportuneBébés et MamansMinutes Maison
Il y a eu , puis les deux performances poussives en Ligue des champions face à Gérone (victoire 1-0 en toute fin de match) et . Les prestations du PSG depuis quelques semaines sont loin d’être flamboyantes, mais Luis Enrique tient à maintenir le cap. A la veille du match contre Nice en clôture, l’Espagnol a tenu à défendre les siens.
« On est imparfaits, on va s’améliorer mais je suis certain que cette équipe va lutter dans toutes les compétitions. Si on rejoue ce match contre , peut-être que le résultat n’est pas le même », a déclaré Luis Enrique ce samedi en conférence de presse. Mikel Arteta [coach d’Arsenal] est à la tête de son équipe depuis cinq ans. Nous, ça fait un an et trois mois. Ce n’est pas une excuse, je me lève chaque matin pour aller gagner toutes les compétitions. Mais la différence avec un coach, une direction sportive qui travaillent ensemble depuis cinq ans existe. »
« Je suis dur quand il faut être dur »
L’ancien entraîneur du Barça a tenu également à défendre ses joueurs, à l’image de , pas franchement impérial face aux Gunners en milieu de semaine. « Quand il y a une défaite, c’est très triste de taper sur un joueur. On s’acharne souvent sur Donnarumma, s’il vous plaît, laissez-le tranquille et occupez-vous de moi. […] J’essaie toujours de protéger mes joueurs. Le responsable dans les défaites c’est l’entraîneur. »
L’Espagnol n’a pas voulu dire , serait présent dans le groupe convoqué pour la réception de Nice : « Lorsqu’un joueur ne correspond pas aux obligations, il est à l’écart mais quand il y répond, il est prêt, a-t-il simplement déclaré alors qu’on lui demandait si l’attaquant serait avec le reste de l’équipe. Je suis dur quand il faut être dur, et plus permissif quand je peux l’être. C’est mon rôle. Je n’ai aucun problème à prendre des décisions. Personne ne va les prendre pour moi. Si elles échouent, c’est de ma faute, c’est clair. Mais c’est à moi de les prendre et je les assume. »