JO d’hiver 2030 : « Je me sens cette responsabilité »… Martin Fourcade se voit président du comité d’organisationSportuneBébés et MamansMinutes Maison

Après pour les , Martin Fourcade pour la version hivernale en 2030 ? C’est en tout cas le souhait du quintuple champion olympique de , qui a officialisé sa candidature à la présidence du futur comité d’organisation des Jeux d’hiver 2030 en France, dans un entretien publié par ce mercredi.

A la veille d’une réunion avec les promoteurs des JO 2030 à , annonce : « C’est un peu théâtral de le dire ainsi, mais on est à un tournant des et à un moment important de l’histoire de la montagne française et de ses enjeux. Je me sens cette responsabilité de porter ce projet pour donner du sens et du concret à cet engagement ».

« On a les moyens de réussir des Jeux magiques »

La belle réussite de l’organisation tricolore cet été a évidemment compté dans son choix. « J’ai vécu les Jeux de Paris 2024 très intensément et ça a fait remonter plein de choses de mon histoire avec les Jeux, cette émotion particulière, explique Martin Fourcade. Tout cela a décidé de mon engagement avec aussi un niveau d’ambition qui est fort. »

Côté ambition, l’ancien biathlète en affiche à revendre : « Le grand public attend de nous au minimum ce qu’a fait Paris 2024. Tous les jours on me dit : "Martin, quand est-ce que l’on revit ce que l’on a vécu à Paris 2024 ?". Cet engouement, cette pédagogie qu’a fait Paris 2024, c’est un vrai atout pour les Alpes 2030. Ce ne sera pas facile mais j’y vais avec beaucoup d’enthousiasme car je suis persuadé que l’on a les moyens de réussir des Jeux magiques ».

« Si je n’étais pas persuadé de pouvoir faire mieux… »

A 36 ans, Martin Fourcade se projette donc déjà sur ces JO 2030 : « Quand tout le monde trouve le stade de la incroyable et que j’ouvre ma fenêtre le matin en regardant les montagnes, je me dis que ce n’est aucunement moins incroyable. J’ai envie de mettre en valeur cette beauté-là, d’apporter une reconnexion avec un monde qui nous entoure. Paris 2024 devait sublimer Paris, les Alpes françaises devront sublimer la nature qui nous entoure ».

Si bien que lorsque L’Equipe lui fait remarquer qu’il sera difficile d’égaler , celui-ci ne se démonte pas : « Si je n’étais pas persuadé de pouvoir faire mieux, je ne m’engagerais pas ». Alors que son nom figurait depuis le début parmi les favoris pour devenir le patron du Cojop, Martin Fourcade s’imagine donc bien diriger ce futur comité d’organisation prévu au Bourget-du-Lac (Savoie).

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